École doctorale Abbé-Grégoire

6 de nos doctorant.e.s vous présentent leurs travaux de thèse en posters.

12 mai 2016
1 septembre 2016

À l'occasion des Journées doctorales de l'école Abbé-Grégoire "Modèles & recherche", 14 doctorant.e.s ont présenté leurs travaux de thèse sous la forme de posters. Et vous allez voir, pas besoin d'être sociologue, juriste ou psychologue pour comprendre la richesse, l'intérêt et la potentielle portée de ces travaux de recherche... Focus sur 6 cas d'école !
Nadia Baatouche est en première année de thèse au Centre de recherche sur le travail et le développement (CRTD), au sein de l’équipe Psychologie de l’orientation. Elle mène sa recherche sous la direction du professeur Jean-Luc Bernaud.
Son sujet de thèse : L’influence du contexte familial sur le sens donné à une formation initiale et professionnelle.

« Dans un contexte économique en mouvance, se pose la problématique du sens donné à la formation initiale ou professionnelle par l’étudiant. L’intention de notre recherche est d’étudier l’influence du contexte familial dans ce sens donné à la formation. »

En savoir plusVoir son poster

 
Yasmina Dris est en deuxième année de thèse au Laboratoire espaces de travail (Let). Sa thèse en Architecture, urbanisme et environnement, réalisée sous la direction de Jodelle Zetlaoui-Léger, professeure à l’École nationale supérieure d’architecture de Paris La Villette, a pour titre : La programmation et l’injonction à la participation citoyenne : représentations et nouvelles pratiques professionnelles.

« Dans mon travail, je m’intéresse aux représentations et éventuelles évolutions de la pratique de la programmation architecturale et urbaine en France vis-à-vis de l'implication des citoyens dans les projets qui concernent leur cadre de vie. »

En savoir plusVoir son poster


Jennifer Leonet est en troisième année de thèse au Laboratoire espaces de travail (Let). Sa thèse en Architecture, urbanisme et environnement, réalisée sous la direction de Jodelle Zetlaoui-Léger, professeure à l’École nationale supérieure d’architecture de Paris La Villette, a pour titre : Les architectes face à l’impératif participatif dans les projets urbains durables : le cas des écoquartiers.


« Cette thèse tentera de contribuer à la réflexion sur l’évolution des métiers et des professions de la production du cadre bâti, en particulier des architectes de formation, pris dans des systèmes d’acteurs et de projets urbains durables dans lesquels il leur est demandé de développer de nouvelles compétences vis-à-vis de la participation citoyenne, en l'occurrence dans des projets d’écoquartiers. »

En savoir plusVoir son poster


Yannick Miel est doctorant en première année au Laboratoire interdisciplinaire de recherche en sciences de l’action (Lirsa). Déterminer un modèle de mesure de la valeur ajoutée dans un établissement d’enseignement supérieur privé : le cas des écoles de commerce est le titre de sa thèse, effectuée en Sciences de gestion sous la direction du professeur Laurent Cappelletti.


« L'objectif est de permettre l'émergence d'un modèle de mesure de la valeur ajoutée dans l'enseignement supérieur. L'enjeu est notamment de déterminer les proxys qui permettent d'observer une différence entre un individu à l'entrée d'une formation et à sa sortie par rapport à ce qui est prédictible. »

En savoir plusVoir son poster
 

Marie-Line Robinet est en troisième année de thèse au Centre de recherche sur le travail et le développement (CRTD), au sein de l’équipe Psychologie de l’orientation. Elle mène sa recherche sous la direction de la professeure Valérie Cohen-Scali.
Son sujet de thèse : Processus dialogiques/réflexifs lors d’entretiens de conseil constructivistes.


« Cette recherche porte sur l’analyse des processus qui, dans une pratique de conseil en orientation professionnelle, peuvent permettre une véritable restructuration identitaire permettant une construction de projet professionnel. »

En savoir plusVoir son poster


Valérie Tandeau de Marsac est en première année de thèse au Laboratoire interdisciplinaire de sociologie économique. Sa thèse, en Sciences de gestion – mention Droit des affaires, a pour titre Le capital familial, ADN des entreprises familiales – Étude sur le statut de l'actionnaire en droit et fiscalité français et est menée sous la direction de Maria-Beatriz Salgado, maîtresse de conférence et des professeurs Philippe Reigné et Alain Bloch.



« Les entreprises familiales deviennent un objet d’étude parce qu’elles créent l’essentiel de l’emploi en France. La recherche anglo-saxonne considère que c’est le capital familial, défini comme un surcroît de capital social, qui les caractérise. La thèse a pour objet de questionner la nature profonde du capital : simple commodité échangée par des actionnaires spéculant sur les marchés financiers (conception souvent adoptée par le droit) ou ressource essentielle à la réalisation du projet entrepreneurial, portée par un actionnaire de long terme proche de l’entreprise ? Et d’en tirer des recommandations pour un traitement juridique et fiscal de l’actionnaire qui permette la création de valeur économique et favorise l’emploi. »

En savoir plusVoir son poster