La pandémie a provoqué un choc brutal sur l’économie, entrainant une récession importante avec une baisse du PIB de 8 % sur l’année 2020 et une modification des conditions de travail. Le développement du télétravail a conduit à une évolution temporaire ou plus durable des trajectoires professionnelles et des choix de formation. Fin 2020, le CEET et l'OEC du Cnam ont mené une enquête d’envergure auprès des publics du Cnam dans l’objectif de mettre en lumière ces évolutions.

Dans un souci de diversification des voies d’accès à l’enseignement supérieur par l’apprentissage, les formations d’ingénieur.e.s en partenariat (FIP) se sont particulièrement développées ces trente dernières années. Dans ce cadre, l’école d’ingénieur.e.s du Cnam (EiCnam), a diplômé plus de mille élèves issu.e.s d’une FIP en 2014-2015, 2015-2016 et 2016-2017.

En avril 2019, le président de la République a évoqué l’instauration de mesures spécifiques afin d’inciter l’ensemble de la population à travailler plus longtemps. Plus tard dans l’année, la ministre du travail, lors de son audition sur la réforme de l’assurance-chômage, annonce l’ouverture prochaine d’une concertation avec les partenaires sociaux pour que plus de « seniors » puissent travailler. Comment le Cnam peut-il accompagner les « seniors » dans leur maintien dans l’emploi ?

Le CNAM possède une offre de formation diversifiée et le domaine de l’intervention sociale y est bien représenté. Ce champ, au cœur des problématiques sociétales actuelles, a besoin de professionnels qualifiés, notamment des cadres intermédiaires. Les former est un objectif que le CNAM se donne, notamment en proposant une licence professionnelle adaptée. Qui sont les futurs intervenants sociaux formés au CNAM ? Que deviennent-ils après l’obtention de leur licence professionnelle ?

Avec près de 7 000 inscrits en 2015-2016, l’alternance occupe une place importante au Conservatoire national des arts et métiers (Cnam). Ce numéro de l’Observatoire à l’étude propose une comparaison entre l’alternance et les autres modalités de formations du Cnam en termes de profil sociodémographique et de situation professionnelle quelques mois après la formation des diplômés.

Dans la continuité de l'étude "Le Cnam en région" menée en 1997 par l'Observatoire des études et carrières, ce document fait état des similitudes en termes de profils sociodémographiques et d'offre de formation qui rapprochent les centres Cnam en région (CCR). Comment les profils des auditeur.rices.s témoignent d'un lien entre les régions ?

Les entreprises du secteur des activités scientifiques et techniques apportent à leurs client.e.s des connaissances et compétences pointues dans un champ large de domaines et requièrent un niveau de formation élevé afin de répondre aux besoins d’expertise et de transfert de connaissances. Le Conservatoire national des arts et métiers en tant qu’établissement d’enseignement supérieur apporte une réponse aux besoins de ces entreprises en formant de futurs expert.e.s.

À l'heure où la France s'apprête à accueillir 30 000 réfugiés dans la cadre de l'accord de "relocalisation" européen, le Cnam s'est déjà engagé dans le suivi et l'accompagnement de réfugiés depuis l'automne 2015. Dans ce contexte, le Conservatoire propose une journée de réflexion sur les leviers que peut présenter la formation continue dans l'intégration des étrangers en France, notamment sur le marché du travail.

À l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, l’Observatoire des études et carrières du Cnam a souhaité mettre en avant les auditrices du Cnam. Dans ce premier numéro de « L’Observatoire à l’étude », il sera question des femmes venues se former au Conservatoire, de leur profil, de l’évolution de leur situation professionnelle suite à l’obtention d’un diplôme et leur expérience quant aux enseignements suivis.