Le Cnam renforce sa présence dans le secteur de la Grande Vitesse Ferroviaire
2 avril 2013
La signature d’un accord d’intention avec la SNCF, les chemins de fer russes, l’ENPC et l’Université ferroviaire de Moscou, préfigure la création d’un Centre franco-russe de recherche et d’enseignement de la grande vitesse ferroviaire.
Le 27 mars dernier, le Recteur Christian Forestier, administrateur général du Cnam, Guillaume Pepy, président de SNCF, Vladimir Yakounine, président des chemins de fer russes (RZD), Boris Liouvine, président de l’Université ferroviaire de Moscou (MIIT) et Armel de La Bourdonnaye, directeur de l’École nationale des ponts et chaussées (ENPC, École des Ponts ParisTech), ont signé un accord d’intention pour créer un Centre franco-russe de recherche et d’enseignement de la Grande Vitesse Ferroviaire.
Ce centre aura pour objectif de renforcer et développer la coopération scientifique et technologique, ainsi que la formation dans le domaine de la grande vitesse. Selon Guillaume Pepy, il devrait « permettre de définir une grande vitesse européenne s’étendant de l’Atlantique au Pacifique ». « Il ne s’agit pas de copier ce que fait la SNCF » a déclaré Vladimir Yakounine, « mais de créer ensemble des systèmes encore plus modernes de transport à grande vitesse, prenant en compte la dimension des espaces de la Russie et leurs basses températures ».
Cet accord « illustre la volonté du Conservatoire d’accompagner les entreprises françaises dans leur développement à l’international en formant les futurs cadres et techniciens de ce projet» a expliqué Christian Forestier, administrateur général du Cnam.
La signature de cet accord renforce la présence du Cnam dans le secteur de la grande vitesse ferroviaire. En 2012, le master Infrastructure et exploitation Grande Vitesse Ferroviaire, créé à l’initiative de la chaire industrielle Technologies et compétences ferroviaires (TCF), était sélectionné dans le cadre du Programme Tempus de l’Union européenne. Ce cursus permettra de former les cadres des chemins de fer russes aux spécificités de la grande vitesse ferroviaire à partir de septembre 2014.
Ce centre aura pour objectif de renforcer et développer la coopération scientifique et technologique, ainsi que la formation dans le domaine de la grande vitesse. Selon Guillaume Pepy, il devrait « permettre de définir une grande vitesse européenne s’étendant de l’Atlantique au Pacifique ». « Il ne s’agit pas de copier ce que fait la SNCF » a déclaré Vladimir Yakounine, « mais de créer ensemble des systèmes encore plus modernes de transport à grande vitesse, prenant en compte la dimension des espaces de la Russie et leurs basses températures ».
Cet accord « illustre la volonté du Conservatoire d’accompagner les entreprises françaises dans leur développement à l’international en formant les futurs cadres et techniciens de ce projet» a expliqué Christian Forestier, administrateur général du Cnam.
La signature de cet accord renforce la présence du Cnam dans le secteur de la grande vitesse ferroviaire. En 2012, le master Infrastructure et exploitation Grande Vitesse Ferroviaire, créé à l’initiative de la chaire industrielle Technologies et compétences ferroviaires (TCF), était sélectionné dans le cadre du Programme Tempus de l’Union européenne. Ce cursus permettra de former les cadres des chemins de fer russes aux spécificités de la grande vitesse ferroviaire à partir de septembre 2014.